un scénario qui déclenche la fermeture du relais pendant une certaine durée (5’ ou plus selon le temps au bout duquel vous voulez que ça s’éteigne automatiquement s’il n’y a plus de présence) si la luminosité est faible, qu’une présence est détecté et que le relais est ouvert (allumage sur détection de présence en luminosité faible)
un scénario qui maintient le relais fermé (le réarme sur sa durée TB, j’ai testé avec une VI et une VO et ça semble marcher) quand une présence est détectée et que le relais est déjà fermé (maintien de la lumière sur détection de présence après un allumage)
Le principal inconvénient qui peut arriver c’est si vous êtes dans la pièce, mais suffisamment longtemps immobile ou « caché » pour que le détecteur de présence ne vous « capte pas ». Auquel cas la tempo du relais fera s’éteindre la lumière…
Mais en jouant sur la sensibilité du détecteur et la durée de tempo, c’est peut-être jouable…
De memoire, les ta tb des relais et autres continuent leur cycle même si la condition est fausse:
Si entre temps il y a une nouvelle détection, elle ne sera pas pris en compte.
Pour contourner j’ai utiliser un compteur et ça marche nikel.
J’ai justement fait l’essai avec une entrée virtuelle qui déclenche une sortie virtuelle avec un TB de 5 secondes. Si j’active et désactive l’entrée, la sortie reste bien à On pendant 5’’ après la dernière activation.
Il faut éventuellement faire le même test avec un relais pour vérifier que c’est bien pareil, mais il n’y a pas de raison…
Mais un compteur est peut-être aussi une bonne solution, je ne dis pas…
Désolé je n’avais pas compris que vous le disiez dans ce sens.
Mais donc pour moi ce fonctionnement n’est pas bon pour de la détection avec allumage de lampe.
A mon sens il faut qu’à chaque détection le compte à rebours soit relancé sinon il y aura des moments ou la lampe s’eteindra alors qu’il y a du monde.
C’est ce qu’il me semble avoir proposé avec le 2e scénario…
Si le relais est fermé et qu’une présence est de nouveau détectée, il le ferme à nouveau (mais comme il l’est déjà ça ne change rien) ce qui doit donc juste avoir pour effet a priori de réarmer le timer pour prolonger.
Le souci c’est s’il y a quelqu’un et que le détecteur ne s’en aperçoit pas (pas assez de mouvement ou dans un angle mort).
Bon, voilà ce que j’ai fait, mais c’est long à mettre en place, tester etc… Et je ne sais pas si ça va correspondre réellement dans le temps. Si vous avez plus simple (ça doit être un cas d’école de la V4 je penses), je suis preneur.
Les différents points à traiter :
Problème 1 : estimer le « trop sombre ». J’estime qu’au-dessous de 2 (je ne connais pas l’unité), il faut allumer.
Problème 2 : estimer quand la lumière est allumée. A différencier de la lumière du jour suffisante. Chez moi, j’ai 12 avec la lumière allumée. Disons 10 comme limite.
Problème 3 : quand allumer ou laisser allumé : c’est la combinaison de des problèmes 1 et 2.
Problème 4 : détecter un mouvement
Problème 5 : prolonger un peu la durée d’éclairage (3 secondes pour moi).
Maintenant, la mise en pratique…
3 sorties virtuelles :
SV1 : lumière < 2
SV2 : lumière < 2 ou > 8
SV3 : prolongation. Ici Tb à 3s
5 scénarios :
pour le problème 1 :
Ici j’ai fait un scénario, car plus loin on ne peut pas mettre 2 entrées analogiques dans le même « évènement ».
pour le problème 3 (qui prend en compte le 2) :
problème 4 : détection mouvement (et prise en compte du point précédent) :
NB : ici mon détecteur ouvre le contact en cas de mouvement, d’où le « NON »
problème 5 - partie 1 : fin du mouvement alors que la lumière est allumée :
problème 5 - partie 2 : laisser allumer quelques secondes de plus
Ca me parait bien compliqué, mais je n’ai pas trouvé mieux pour l’instant…
Edit : j’ai aussi des interrupteurs que je voulais garder pour ces mêmes luminaires.
Ca me semble aussi bien compliqué. Il me semble que la méthode que je proposais avec 2 scénarios seulement est plus simple et peut fonctionner.
L’unité est en % par rapport à la luminosité maximale que peut détecter le capteur. Perso je l’ai éclairé avec une lampe puissante de côté, sans arriver à atteindre les 100 %. Peut-être qu’avec la lumière du soleil en direct sur le capteur on les atteindrait… Peut-être que d’autres ont plus d’expérience et pourront dire ce qu’ils en pensent.
La nouvelle contrainte supplémentaire est celle de vouloir conserver les interrupteurs. Puisque vous dites « les » c’est qu’il y a un va-et-vient ?
Si non, la solution la plus simple me semble d’être de mettre l’interrupteur en parallèle du relais contrôlé via l’IPX.
Si oui, la solution simple me semble d’être de mettre la chaîne des inter en parallèle du relais contrôlé via l’IPX.
En fait je n’avais pas vu ta 1ère réponse, désolé…
Pour les interrupteurs, ils sont reliés indépendamment à l’IPX ou ses extensions. Donc dans les scénarios je vais activer une sortie virtuelle avec une Tb au lieu du relais lui-même, afin de laisser les inters fonctionner normalement. Je n’ai pas de problème pour cette partie-là, c’était juste pour préciser les contraintes de l’éclairage automatique
Je viens donc de mettre en place ta suggestion, et voilà mes retours :
si je bouge en permanence, le détecteur reste ouvert, donc le relais va s’ouvrir après le temps Tb. Ce n’est que là que le 2ème scénario va être déclenché, ce qui fait donc une extinction rapide.
je trouve dommage d’allumer en plein jour. C’est pour ça que j’ai fait une détection de l’éclairage suffisant.
pour ce qui est de rester immobile longtemps, là effectivement ça ne fonctionne pas, mais je n’avais pas prévu de prendre en compte ce cas (juste la tempo assez longue pour couvrir le cas courant).
Au passage tu m’as fait découvrir qu’on pouvait mettre des relais dans les évènements. Je ne l’avais simplement jamais vu !! Je vais pouvoir simplifier des scénarios en enlevant des sorties virtuelles…
En tous cas merci pour tes idées.
Au final après tout ce bazar, je me rends compte que sans dimmer, l’éclairage est trop fort la nuit. J’hésite donc entre :
virer tout ça et n’utiliser que les boutons
idem en attendant le « X-Dim » et refaire les scénarios à ce moment-là avec certainement de nouvelles possibilités
désactiver l’éclairage auto la nuit selon l’heure.
Pas grave, du moment que je t’ai permis de découvrir qq chose.
Si je comprends bien, ce que j’ai suggéré ne fonctionne pas. Je n’avais effectivement pas imaginé que le détecteur ne puisse pas se refermer à un moment ou un autre après une première détection et avant l’extinction. Faut pas bouger tout le temps comme ça…
En ce cas, est-ce qu’une sortie virtuelle qui passerait à « On » en même temps que le relais à la première détection et dont le Tb serait par exemple moitié du relais, associée avec un scénario qui quand elle repasse à « Off » teste en même tant si le détecteur est encore ouvert (ce qui veut dire qu’il ne s’est pas refermé entre temps) et redéclenche le relais et la sortie virtuelle, comme la première fois (donc réarme le Tb).
Après, pour la luminosité, sans un variateur, ce sera compliqué. Une idée éventuellement à tester (mais pas sûr que ce soit très efficace ni très bon pour les ampoules) : utiliser quand il fait nuit un 2e relais qui se substitue au premier et derrière lequel tu mets une diode type 1N4007 (à voir par rapport à l’intensité consommée) ce qui fait que l’ampoule ne recevra qu’une 1/2 alternance et rien pendant l’autre (donc une puissance plus faible). Mais je doute que ça marche avec des ampoules fluo compactes, je ne sais pas comment des LEDs vont apprécier, peut-être qu’une halogène s’en sortirait, mais ça risque de faire un papillotement désagréable à 50 Hz. Si certains ont un avis…
Par contre si je retrouve encore un peu de temps, je vais refaire les scénarios que tu m’as proposés avec ces adaptations. Mais là j’ai passé trop de temps sur cette petite fonctionnalité malheureusement…
