Bonjour Feuxs,
oui c’est pour le moteur de scénario, si vous utilisez un lien il y a effectivement le mode inversé.
Bonne journée
OK, merci pour ces précisions.
Bonjour,
L’IHM de la V5 est très structurée et donne vraiment beaucoup d’infos.
Pour l’illustrer je vais vous montrer la page de configuration des Compteurs.
On a en permanence un bandeau sur la gauche de l’écran.
Fermé ------ Ouvert
Dans la page Liens on peut configurer toutes les briques et créer les Liens et par défaut on arrive sur la brique IPX.
en partant du haut on a 5 onglets très explicites :
L’IPX - les Extensions physiques - les Objets virtuels - toutes les Variables - les Modules qui sont les plug-in extérieurs
Si on clique sur l’onglet Objets on voit toutes les catégories et si on clique sur le bouton Compteurs on entre dans la page de configuration des Compteurs et d’édition de leurs Liens.
Laissons pour l’instant la ligne de 4 boutons consacrés aux Liens et intéressons nous aux 2 panneaux de gauche. Le premier donne la liste de tous les Compteurs créés, permet d’en créer de nouveaux et de les supprimer. On a aussi un outil recherche, pratique quand le nombre d’objets créés est élevé, pour les Compteurs on peut aller jusqu’à 64.
Quand on crée un Compteur il s’ouvre au centre de l’écran :
Quand c’est le premier que l’on crée on est un peu perdu, c’est là qu’est utile le 2nd panneau de gauche, le panneau Informations.
Il explique ce que sont chacune des entrées-sorties du Compteur. On a déjà une partie de l’info visuellement : un rond indique une entrée ou une sortie TOR : rond blanc avec centre gris : elle est inactive, rond blanc avec centre blanc : elle est activée. On peut changer son état en cliquant dessus.
Si l’entrée ou la sortie est analogique elle est représentée par un A et porte en index son nombre de bits (de 8 à 32).
Le panneau Informations indique aussi la présence du mot Edition (situé en haut à droite de l’icône représentant le Compteur). C’est là que vous allez pouvoir nommer le Compteur, fixer son pas et sa valeur par défaut.
On peut définir si la variable est brute et dans ce cas elle peut aller de 0 à 65535 (parce que c’est une A16) ou si elle est réelle et dans ce cas elle peut aller de -32768 à +32767.
Vous voyez que l’on peut donner une valeur de décimale.
Attention ça influence les valeurs max et min, eg si 2 décimales alors on va de -327,68 à + 327,67, si 4 décimales on va de -3,2768 à 3,2767.
Parmi les infos que l’on a directement sous les yeux, il y a la valeur de pas et la valeur de sortie du Compteur :
Si vous avez activé le Auto refresh alors la valeur de sortie évoluera en temps réel, sinon il suffit de cliquer sur Rafraichir
Si vous cliquez sur Edition lien vous ouvrez les accès aux liens et à gauche vous avez le panneau des Liens disponibles :
De même si vous cliquez sur Utiliser dans scénario vous pouvez lier les E/S à un/des Scénarios.
Une fois de plus ça parait complexe parce que j’ai essayé de tout détailler mais l’idée est de montrer la richesse de la nouvelle IHM. Dans la pratique c’est vraiment accessible.
Bonne journée
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Bonjour,
après avoir vu quelques particularités des Liens et Objets, regardons maintenant la partie Interface, c’est à dire les DashBoards et les Widgets.
Quand vous démarrez l’IPX V5 pour la première fois vous êtes face à une page vide :
En cliquant sur le + en haut de la page vous ouvrez un panneau :
→ 
Vous pouvez choisir le type de DashBoard, classique ou LiveView.
Pour rappel le LiveView est un DashBoard dans lequel vous pouvez importer une image en arrière plan.
Vous pouvez nommer le DashBoard et lui affecter une icône.
Vous remarquerez aussi que vous pouvez importer un DashBoard existant. En effet sur la V5 on peut absolument tout sauvegarder, soit en fichiers individuels, soit en tant que configuration globale.
Vous pouvez créer jusqu’à 12 DashBoards et 6 LiveView.
Avant de voir l’édition des DashBoards, sachez que vous pouvez créer 6 Utilisateurs différents (au lieu de 2 avec la V4) et affecter des droits différents à chacun, de simple utilisateur à administrateur. Ce qui est intéressant c’est que vous pouvez aussi déterminer pour chaque utilisateur quel DashBoard il a le droit de voir, pratique pour, par exemple créer un Dashboard spécial enfants et restreindre leur accès à ce seul DashBoard.
Ceci se fait au niveau des réglages système :
Revenons à l’édition du DashBoard.
Par défaut il est verrouillé, il faut donc cliquer sur le cadenas (un simple utilisateur n’y a pas accès).
Vous pouvez maintenant ajouter un widget. Il apparait sous forme d’un carré.
Il y a aussi une jauge à droite qui donne en temps réel le taux de remplissage du DashBoard.
Le Widget se positionne sur une grille. Il va falloir commencer par indiquer combien de carreaux de la grille il va utiliser en cliquant sur la petite icône en haut à gauche du Widget. Un panneau s’ouvre :
Sur la première ligne vous décidez de la place qu’occupera le Widget, sur la seconde vous pouvez soit le dupliquer (vous pourrez éditer le doublon plus tard) soit le déplacer vers un autre DashBoard.
Choisissons de lui donner une taile 2X2 : nous pouvons maintenant l’éditer en cliquant sur Edit en haut à droite du Widget.
On peut lui donner un nom, lui attribuer une gamme de couleurs grâce à des Templates complètement éditables. Par goût j’ai fait un Template dans les tons de gris clair mais tout est possible.
Ensuite vous choisissez le type de Widget. Pour la suite nous utiliserons la Jauge (semi-circulaire).
La version V5 est intéressante parce qu’elle est très personnalisable, en voici des exemples :
Lorsque vous avez choisi le type Widget le panneau vous propose des options d’édition propres à ce Widget :
Pour commencer : quelle valeur analogique sera affichée puis le style, pour la jauge, soit la version colorée, soit une version filaire très adaptée au LiveView, enfin, classiquement l’unité, les valeurs min et max et, nouveauté, des plages configurables en valeur et en couleur, voir ex plus haut.
Une fois validé vous pouvez déplacer le widget sur la grille pour organiser le DashBoard :
Vous remarquerez que malgré le nombre de Widgets on est loin d’avoir rempli la mémoire allouée au DashBoard.
Le principe est le même pour le LiveView. Différences notables : il y a une image de fond (hébergée sur un site extérieur pour ne pas saturer la mémoire de l’IPX) et les Widgets sont librement repositionnables et redimensionnables.
Bonne journée
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Vous avez bien de la chance de pouvoir jouer avec avant tout le monde !
Bonjour,
La V5 propose un grand nombre de nouveaux objets, dont les Clignotants, les Délais, les Impulsions, ou encore les Chronos ou Compte à rebours, …
Je vais vous en détailler quelques uns.
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Délais (retardateur)
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Définition :
Ces objets représentent respectivement les retards à l’enclenchement et la temporisation.
La sortie du délai passera à l’état ON après le temps paramétré.
C’est l’équivalent du paramètre Ta sur la V4. -
Création :
Ajoutez un objet Délais dans la collection.
Vous pouvez voir que l’objet est entièrement configurable :
Par défaut, le délais est de 3 secondes.
Lorsque son entrée Start est activée, le décompte des secondes démarre et la sortie passe à l’état ON à la fin du décompte.
Il est possible de récupérer la valeur du temps restant grâce à sa sortie analogique sur 16 bits. Cette valeur du temps pourra être affichée sur un dashboard ou même utilisée comme une analogique dans une scène. -
Utilisation d’un Délai avec un Relais
Prenons l’exemple d’un relais qui doit se fermer 3 secondes après un événement.
Pour que le Délai pilote la fermeture du relais, il suffit de créer un lien :
Glissons une tuile correspondant à notre relais sur la sortie de l’objet Délais
Cochons la case Autorefresh pour observer ce qui se passe :
Activons par un clic l’entrée du Délais et observons sa sortie :
La sortie attend 3 secondes avant de passer à l’état ON, le relais ainsi lié se fermera donc 3 secondes après excitation de l’entrée Start.
Vous pourrez piloter 'entrée Start comme bon vous semble, un scénario, un autre objet comme une entrée digitale par exemple, ou même un autre lien.
Au dessus de la tuile du relais, vous pouvez observer le mode Action, qui est ici le mode ON/OFF.Vue sur un dashboard :
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Décompte (temporisateur)
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Définition :
Le temporisateur permet de provoquer automatiquement le retour à l’état OFF d’une ressource, après un temps donné.
C’est l’équivalent du paramètre Tb sur la V4 -
Création :
Ajoutez un Temporisateur à la collection
Il est semblable au Retardateur,
Lorsque son entrée START passe à l’état ON, la sortie passe immédiatement à l’état ON, le décompte de la temporisation commence.
A la fin du décompte, la sortie revient automatiquement à l’état OFF.
Vous pouvez utiliser la sortie analogique, comme pour le délais. Cette sortie représente le temps restant avant la fin de la temporisation. -
Utilisation avec un Relais :
Lions un relais à sa sortie et observons ce qui se passe lorsque nous activons l’entrée START
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Visu sur dashboard :
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Impulsion :
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Définition :
L’objet Impulsion est une combinaison d’un délai et d’une temporisation.
Vous devrez donc régler la valeur du retard (TA) et de la tempo (TB)
Par défaut les 2 valeurs sont à 3 secondes. Pour une meilleure compréhension, j’ai modifié la valeur TB -
Utilisation :
Je ne vais pas redétailler le fonctionnement, observez ce qui se passe lorsque nous activons l’entrée START :
La sortie attend 3 secondes avant de passer à l’état ON, puis retombe au bout de 5 secondes.
Vous pouvez utiliser les 2 sorties analogiques, l’une représentant le décompte de TA, l’autre de TB. -
Vue sur dashboard :
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Clignotant :
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Définition :
Le clignotant est un train d’impulsions, il se configure donc exactement de la même manière.
A la différence de l’impulsion, le clignotant fonctionnera en boucle tant que sont entrée Start sera à l’état ON -
utilisation avec un relais :
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Vue sur dashboard :
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bonne journée
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merci a vous de prendre du temps pour nous preparer a cette V5 qui a l’air vraiment top , mais tellement differente de la V4 , va y avoir de la question apres reception cdt
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je vais me faire plaisir en vous présentant un petit objet bien sympa, presque magique par sa simplicité 
→ L’objet Chrono 
C’est un chronomètre dont la valeur est stockée sous forme d’analogique, codifiée sur 32 bits.
La valeur maximale est donc de 2147483647 secondes, soit 68 années
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Créons un objet Chronomètre
Vous découvrez une entrée RUN/PAUSE sur laquelle nous pourrons lier un événement ou une ressource, et une sortie analogique A32 qui contiendra le temps qui se sera écoulé. Lorsque l’entrée Run passera à l’état ON, le chronomètre démarrera automatiquement et s’arrêtera dès que l’entrée repassera à l’état OFF.
Vous l’avez compris, il devient très facile de créer des compteurs horaires de fonctionnement. -
Utilisation avec un relais :
Nous allons créer un lien entre un relais et l’entrée RUN du Chrono.
Nous pourrons donc mesurer le temps que le relais passera à l’état ON.
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Comptage et affichage sur Dashboard
Sur un dashboard, créons un widget de type bouton pour piloter le relais, et affichons la valeur analogique de la sortie du chrono
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Facile, non ?
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Bonjour,
Je rejoint @seraphinou .
Merci à vous @fgtoul @grocrabe pour c’est très bon tuto et le temps que vous y passez .
Bonne soirée.
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Bonjour,
continuons notre découverte des DashBoards et plus particulièrement des Widgets.
NB : Cette partie de l’IHM n’étant pas encore totalement figée, il pourra y avoir des changements minimes d’ici à la sortie de la V5.
Les Widgets sont classés en 4 catégories :
Commençons par les Widgets Temps :
Les trois premiers sont liés à des Objets du même nom :
Voici le Widget Délai :
à l’arrêt - - - - - - - - - - - - - - - - - - - montrant l’avancée du Délai - - - - - lorsque le Délai est écoulé
Pour rappel : on peut éditer les couleurs de tous les Widgets qui en utilisent :
Voici le Widget Décompte :
et voici le Widget Chronomètre :
Le Widget suivant, nommé Afficheur de temps, n’est pas lié à un objet particulier mais peut afficher n’importe quelle variable qui donne une durée, par exemple ici le temps de cycle de l’IPX :
Enfin le dernier Widget de la catégorie Temps est le Widget Horloge :
Il est lié d’office à l’heure et à la date courante de l’IPX. Vous pouvez néanmoins éditer sa taille et son aspect :
A venir bientôt la présentation des autres Widgets.
Bonne journée
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Après les liens qui permettent de créer facilement des automatismes, nous allons aborder les scènes. Le moteur de Scénarios V5 présente des nouvelles fonctionnalités par rapport au moteur V4, notamment la possibilité de créer des regroupements par fonction.
Lexique :
Règle : C’est une action qui est exécutée lorsqu’une condition est vérifiée. Cela correspond au scénario sur V4.
Scène : C’est une nouveauté de la V5 qui correspond à un ensemble de Règles déterminant une fonction.
NB : Sur l’IPX800 V5, il est aujourd’hui possible de créer 64 scènes, pouvant contenir chacune jusqu’à 32 Règles
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Créons une scène
Il est possible d’échanger des scènes entre utilisateurs, c’est donc lors de la création que nous pouvons importer le fichier de notre choix. Il y aura un peu de travail après import, car tout n’est pas exportable, on verra ça plus tard
Pour le test, créons une scène vide en cliquant sur Valider
L’ipx V5 vous ouvre automatiquement une page où il sera possible d’ajouter des règles.
Le haut de la page contient le menu horizontal permettant d’ajouter ou supprimer des règles.
Il est également possible d’ajouter une icône spécifique à la scène en cliquant sur les roues dentées en haut de la page.
L’assistant a déjà créé une règle vide, nous allons l’utiliser pour piloter un relais de l’ipx800.
Pour cela, il faut sélectionner une Tuile dans la bibliothèque (panneau gauche).
Pour notre tuto, nous allons utiliser une variable que nous nommerons « Mode Absence ».
Vous pourrez observer que nous pouvons tout faire à partir du moteur de scénario, y compris la création et la configuration des objets.
Cette variable (Virtual IO) ouvrira le relais 3 lorsqu’elle passera à l’état ON.
Au bout de la règle , observez les 2 boutons, l’un permettant de déplacer les scènes entre-elles, l’autre de supprimer la scène.
Sauvegardons notre règle et retournons à la page d’accueil du moteur de scènes.
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Le Gestionnaire de scènes :
Un nouveau bloc est apparu :
Le bouton glissière permet d’activer ou de désactiver la scène. Si la scène est désactivée, les règles qu’elle contient seront ignorées à l’exécution.
Notez qu’il est possible de désactiver les scènes ou même les règles, soit manuellement, soit par scénario.Une jauge permet également de surveiller le taux d’occupation de la mémoire. Ici, nous avons créé 1 règle sur les 32 possibles.
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hello, j’ai vue que la V5 supporte mqtt, j’ai plein de peripheriques qui possede ce protocole sera t 'il aise de mettre cela en place avec la V 5 merci a vous
cdt
Bonjour, à ce que j’ai lu, la V5 embarque un client MQTT, il vous faudra donc un serveur MQTT de type Mosquitto qui s’installe facilement sur un ordinateur, un NAS ou un Raspberry Pi même ancien. Ensuite il ne s’agit que de publications et abonnements vers des « topics » MQTT, voir les tutos nombreux sur le web.
A propos de MQTT, je pense que la communication avec des modules Shelly va vraiment être simplifiée (client MQTT embarqué), je viens d’en acheter un pour me familiariser avec avant l’arrivée de la V5 et piloter ma motorisation de portail Somfy via le contact sec.
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Bonjour
Aujourd’hui la V4 est secourue par un UPS, demain la V5 le sera par le PSU20, faut il retirer une ligne non secourue ou le PSU pourra t’il rester sur l’UPS?
Merci
Cordialement
Bonjour 2hash,
Si vous voulez que votre pantalon tienne vous mettez une ceinture ou des bretelles… mais personne de vous empêche de mettre ceinture et bretelles 
Bonne journée
Ma question ne concernait pas la sécurité, mais éviter du travail de recâblage, (on est dans le sud ou pas )
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Bonjour,
NB : Cette partie de l’IHM n’étant pas encore totalement figée, il pourra y avoir des changements minimes d’ici à la sortie de la V5.
Après avoir vu les Widgets Temps, voici les Widgets Display :
Le premier est la Jauge (semi-circulaire). Nous l’avons déjà vue, je ne m’y attarde pas :
Elle est très éditable :
et existe en version filaire monochrome :
Puis vient la jauge linéaire :
que l’on peut configurer avec un point de référence (12V) différent des bornes min (9V) et max (15V) :
Tension supérieure au point de référence :
Tension inférieure au point de référence :
Maintenant les afficheurs textes.
Le premier se nomme simplement Afficheur texte. Il affiche la valeur de la variable sur laquelle il pointe, soit une Variable String :
soit une variable Analog :
On peut éditer icône, couleur et unité.
Le second Widget texte se nomme Texte conditionnel.
Il affiche une icône et un texte en fonction de la valeur vraie ou fausse d’une Variable TOR sur laquelle il pointe :
Condition vraie :
Condition fausse :
Voici son panneau d’édition :
Maintenant le Widget Météo. Il pointe sur un module OpenWeather installé par défaut sur l’IPX V5 :
Enfin le dernier Widget Display est le Widget Camera :
Vous pouvez voir en surimpression les 4 flèches (désactivables) qui permettent de bouger la caméra.
Voici son panneau de configuration :
C’est tout pour aujourd’hui…
Bonne journée
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Bonjour,
en complément sur le widget Caméra :
Le codec MJPEG est le seul reconnu.
Ce n’est pas une limitation de l’IPX, mais du navigateur internet.
Vous devrez donc configurer votre caméra pour qu’elle ait un canal MJPEG (Dahua, Hikvision, Foscam, …)
Personnellement, je configure le flux principal de mes Dahua en H.264 ou H.265 selon le modèle, et j’active le substream en Mjpeg.
Cela me permet d’enregistrer les flux HD sur le NVR et de visualiser les flux secondaires via l’IPX.
bonne journée
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Pour info:
Il est possible d’avoir des images plus grandes que celles du flux mjpeg en passant par le mode snapshop de la caméra. dans ce cas il faut configurer le widget en mode picture et l’ipx800 affiche les images à la volée. Le rafraîchissement est plus lent mais permet d’avoir une qualité HD et une vidéo assez fluide (en jouant avec le refresh time).
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j’avais effectivement parlé du flux vidéo uniquement.
j’avais testé le snapshot qui fonctionnait bien sur ma Dahua.